Coline, 20 ans lors de son stage, a passé deux mois à la CNAPD.
Comment as-tu connu la CNAPD?
Grâce à son site Internet, je suis tombée dessus un peu par hasard.
Qu’as-tu fait à la CNAPD, sur quels projets as-tu collaboré?
J’ai eu de nombreux petits travaux à effectuer à propos de sujets aussi divers que la citoyenneté européenne de résidence, l’OTAN, le désarmement nucléaire, le projet radio Cap ou pas Cap ou encore le concours Manneken Peace.
Comment as-tu vécu ton passage au sein de l’association?
J’ai appris beaucoup de choses; c’est sans doute l’aspect le plus marquant de ces quelques semaines. J’ai réalisé de petites tâches à propos de sujets que je méconnaissais, or, l’une de mes principales motivations en postulant à la CNAPD était d’en savoir plus à propos de thèmes que l’on n’aborde que trop peu à l’école. Tout cela m’a énormément intéressée.
Au-delà de cet aspect plutôt théorique, j’ai également pu mettre en application des compétences qui relèvent davantage de ma courte formation en infocom, comme l’échafaudage d’une campagne de communication avec les deux mémentos, une émission de radio avec « Cap ou pas Cap » ou la création d’un événement avec Manneken Peace.
J’ai même eu la très agréable impression d’avoir une certaine amplitude d’action, et même quelques responsabilités, car mes minuscules prises d’initiative étaient toujours bien accueillies.
J’ai beaucoup aimé la variété de ce que l’on me proposait de faire, je ne me suis jamais ennuyée. J’ai aussi aimé l’esprit de cette organisation, ses combats et sa façon d’agir.
Pour toi, la CNAPD ça représente…
Une belle équipe, de belles idées, et la volonté de mettre tout en oeuvre pour les défendre.