Après l’attentat du 7 janvier 2015 à Paris, l’OCAM (l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace) avait conseillé d’augmenter le seuil de menace au niveau 3 pour les institutions juives et les commissariats de police puis, le 9 mars de ramener le niveau de menace de 3 à 2. Un degré de menace qui, légalement, ne justifie pas la présence de soldats dans nos rues. Le gouvernement en a pourtant décidé autrement.
Une mesure illégale, anti-démocratique et créant une atmosphère anxiogène, qui a abouti au dépôt d’une plainte de la part de plusieurs associations dont la CNAPD.
Le 23 septembre 2015, Alain Lallemand revenait sur la question dans Le Soir. Lire l’article.